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Repas de
Mariage:
LE REPAS DE MARIAGE.
Voici le moment de partager le repas de mariage,
préparé par votre traiteur.
L’occasion de savourer le plaisir de voir tous vos proches
réunis.
Autrefois, festin de roi
Jadis, le mariage
était
considéré, avant la fête, comme un
banquet. Moment
tant attendu par les deux familles qui profitaient de ce
dîner
pour faire plus ample connaissance, il a connu des époques
et
des usages différents. A l’époque
médiévale les familles aisées
régalaient de
parts de gâteaux et de verres de vins, tous les habitants du
village, y compris ceux qui n’avaient pas
été
conviés au mariage. Jusqu’au Moyen Age, les hommes
et les
femmes profitaient du dîner séparément.
En
Bretagne, cette tradition a perduré jusqu’au
19ème
siècle. Le festin était composé de
beaucoup de
viandes. Aucun légume, réservé au
quotidien, pas
d’œuf non plus ni de poissons maigres, synonymes du
Carême. La cuisine médiévale pourrait
surprendre
aujourd’hui : le cygne était souvent
invité
à table, et l’on mélangeait souvent,
pour un seul
et même plat, poissons et viandes. Les serveurs les
apportaient,
dans une mise en scène extraordinaire, un spectacle
organisé par un jongleur,
un conteur et un musicien qui
surprenaient tous les convives. Les gibiers, les paons et les
ânons étaient
sur-représentés dans les
assiettes. Aux 19ème et 20ème siècles,
les
auberges et restaurants ouvrirent leurs portes à une
clientèle embourgeoisée. Cependant, les paysans
continuèrent à organiser le festin
eux-mêmes et
profitaient des grandes étendues en plein air, des places
publiques et des granges pour inviter les familles. Adieu soupe au
lard, choux et patates, bonjour viandes et volailles grasses, jambons
et charcuteries. Les desserts font leur apparition et recueillent un
franc succès. Ils marquent les débuts de la
gourmandise.
Des quantités incroyables de nourriture étaient
consommées durant deux ou trois jours de fête.
Aujourd’hui, les habitudes alimentaires ont
évolué.
On troque les plats consistants contre un dîner
varié et
riche en goûts. Une entrée ou deux,
légères,
un ou deux plats de résistance, salade croquante, fromages
et
dessert sont les menus types dégustés pour
célébrer un tel événement.
LE REPAS DE MARIAGE. : Mariage à thème,
dîner à thème
Pour un dîner rendant hommage à une
région
d’origine, les entrées et les plats sont offerts
dans le
but de respecter les coutumes culinaires. Les mariages normands
proposent en entrée, un plateau de crustacés, une
coquille Saint-Jacques de la Côte fleurie
présentée, accompagnée de son
gratiné,
suivi d’un trou normand (une boule de glace à la
pomme
recouverte de calvados), bœuf de nos prairies
accompagné
de petits légumes du jardin, plateau de fromages normands et
tartes aux pommes… Un délice. Les amoureux du
pays basque
n’auront que l’embarras du choix pour composer un
dîner de mariage délicieux. Le Jurançon
coulera
à flot entre foie gras, magrets de canards, jambons de pays,
fromages de brebis et magdalenas au moment du
café… Une fête
dédiée aux Etats-Unis offrira au choix viandes de
bœuf grillées entre deux tranches de pain au
sésame, pour un aspect détendu, ou un poulet
cuisiné façon cajun pour un moment
privilégié de dégustation. Les
pâtes
fromagères ne sont pas obligatoires. Mais les desserts tout
chocolat, complétés de noix de macadamia, de
boules de
glace à la vanille et de chantilly
sur-dimensionnée
sauront ravir les fans d’une gastronomie surprenante.
LE REPAS DE MARIAGE. : Religions et cultures dans votre assiette
Certaines associations n’ont pas lieu
d’être dans le
cas où vos aspirations culturelles et religieuses entrent en
ligne de compte. Les interdits alimentaires sont nombreux. Il est
intéressant de connaître les principales pour ne
pas faire
d’impair le jour J.
LE REPAS DE MARIAGE. : Les catholiques n’ont pas franchement
de
limites gastronomiques. Permissive, la religion catholique a fait
tomber certaines normes bibliques, autrefois contraignantes.
Aujourd’hui, tout est permis ou presque. Excepté
les jours
du vendredi et du Carême, où les
chrétiens sont
sensés observer l’abstinence de la viande. Une
coutume qui
a tendance à disparaître aujourd’hui.
Seuls quelques
groupes observent encore quelques interdits alimentaires bibliques. Les
Adventistes notamment préconisent une nourriture
ovo-lacto-végétarienne, dans le respect
intégral
de l’interdit sur les animaux. Pas de café, ni de
thé encore moins d’alcool en accord avec
l’ordre "tu
ne tueras point". Le jus de raisin remplace le vin d'honneur.
Les Mormons n’observent pas les interdits bibliques sur les
animaux mais recommandent de ne pas consommer de sang (pas de boudin).
Ni café, ni thé, ni alcool pour cette
communauté.
Les Témoins de Jéhovah n’observent pas
les
interdits bibliques sur les animaux et boivent du vin mais, ils
s’interdisent la consommation de sang. A part cela, le rat et
le
chien sont bannis de l’alimentation chrétienne,
plus par
culture et coutume que du fait de la religion.
LE REPAS DE MARIAGE. : Chez les musulmans
Les interdits énoncés dans le Coran, les ouvrages
modernes sunnites et chiites sont nombreux. Les aliments sont
répartis en plusieurs catégories : ceux que
l’on
peut consommer (hallal), ceux qu’il est interdit de consommer
(haram), ceux dont la consommation est laissée au choix de
chacun (mubah) et ceux qui ne sont pas interdits mais qu’il
est
conseillé de ne pas consommer (makruh). La religion
s’appuie sur le principe suivant : "Dieu a mis à
la
disposition des êtres humains tous les animaux et tous les
fruits
de la terre pour qu'il puisse s'en servir. Mais il doit
éviter
le gaspillage." Seul Dieu a déclaré les aliments
licites
et illicites. Les musulmans n’ont pas le droit au vin. Le
porc
est interdit, tout comme les animaux prédateurs à
canines, le sang et toutes les bêtes mortes. Les
équins,
les rongeurs, tels que le lapin ou le porc-épic, makruh, ne
le
sont pas formellement. Certains poissons font partie de variantes selon
les courants religieux. La façon d’abattre les
animaux,
vidés de leur sang est un rite important et très
surveillé. Le nom de Allah doit être
prononcé
à chaque fois. Le boucher doit être musulman ou
être
apparenté à des gens du livre (un
chrétien, un
juif, un sabéen, etc). En revanche, tous les fruits sont
licites. Voir mariage
musulman
LE REPAS DE MARIAGE. : Chez les juifs
Les interdits alimentaires chez les juifs trouvent leurs sources dans
la Bible, complétée par la Mishnah et le Talmud.
Les
aliments permis sont appelés cacher, c'est-à-dire
adéquats, propres à la consommation. La Bible
parle en
outre d'animal pur tahor et d'animal impur tame. Ne sont
considérés comme purs que les animaux ruminants
ayant des
sabots fourchus. La Bible en nomme dix expressément : le
bœuf, le mouton, la chèvre, le cerf, la gazelle,
le daim,
le bouquetin, l'antilope, l'oryx et le mouflon. Tous les autres sont
impurs, donc interdits. Les oiseaux sont purs à
l’exception de 24 espèces dont le hibou et
l’autruche. Dans la pratique, sont
considérés comme
purs les oiseaux domestiques (poule, caille, canard, oie, etc.) et
comme impurs les oiseaux sauvages et en particulier les oiseaux de
proie. Les œufs des oiseaux purs sont purs. Le Talmud donne
comme
indice pour les œufs impurs le fait qu'ils soient ronds.
Seuls
les animaux aquatiques avec nageoires et écailles sont
"comestibles". Les coquillages, fruits de mer et crustacés
sont
impurs. Toutes les autres espèces comme les rongeurs, les
reptiles, les batraciens, les insectes et les
invertébrés
sont impures. La Bible cependant excepte quatre sortes de sauterelles
comestibles. Mais il est difficile de les identifier aujourd'hui. Et
bien que l'abeille soit un animal interdit, son miel peut
être
mangé. Le sang est interdit et la viande doit être
abattu
dans le respect total du rite juif : l’animal est
égorgé, en présence d’un
rabbin, ou
d’un juif compétent et pouvant affirmer que
l’animal
est "casher". Ensuite, la viande est salée deux fois et
rincée avec de l'eau trois fois pour supprimer toute trace
de
sang. Tout le reste est autorisé à la
consommation (les
produits de la terre, les jus de fruits et de légumes, le
lait
des animaux purs. La Torah interdit cependant l'usage et la
consommation des boissons à base de raisin ou d'alcool de
raisin, et tout produit du pressoir qui n'aurait pas
été
fabriqué sous le contrôle d'un rabbin
compétent, ou
qui aurait été manipulé par un
non-juif. Les
pratiquants ne peuvent pas mélanger au cours d’un
même repas la viande et le lait et leurs
dérivés en
raison du verset répété trois fois: "
Tu ne feras
pas cuire un chevreau dans le lait de sa mère ". Pour cela,
il
doit avoir deux vaisselles : une pour les plats carnés et
une
autre pour les plats lactés. Elle est lavée et
conservée séparément. La volaille est
assimilée à la viande, mais les poissons peuvent
être cuits dans le lait et mangés dans les deux
vaisselles. Une troisième vaisselle dite parve (neutre) sert
à des aliments qui ne sont ni carnés ni
lactés.
Après avoir consommé des laitages, on attend une
demi-heure à une heure pour consommer des viandes, parfois
six
heures après la consommation de certains fromages
à
pâte dure, ou cuite. Après la viande, on patiente
six
heures pour consommer du lait, le temps de digestion étant
estimé plus long. Le vin doit être produit depuis
les
toutes premières étapes de la mise en cuve
jusqu’à la mise en bouteille par un juif observant
et
n’être à aucun moment,
manipulé par un
"non-juif". Voir mariage juif
Voir egalement menu de
mariage.
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